Théâtre du Grütli – Genève
12-24 mars 1996
Nicole Cherubini
voix
Leonzio Cherubini
texte, composition et batterie
Natacha Jaquerod
scénographie
Michel Broillet
lumière
Denis Maillefer
mise en scène
Collaborations :
Noémie Lapzeson / André Steiger
Construire une structure narrative et représentative qui ne soit pas tributaire d’une fable précise, à savoir d’une histoire à responsabilité limitée.
Cette caractéristique “off limits” de la structure du spectacle suppose donc une inscription dans le registre de l’imaginaire ”pur” de la bande image.
Un déroulement en plans-séquences qui obsessionellement met le corps et la voix du personnage en contact avec des éléments sonores ou visuels.
L’ appareil déconstructif ici employé, le duo pervers articulant la batterie et la voix, tend à annuler la contrainte qui illustre et reproduit le mieux la fermeture illusoire de toute domination idéologique : le « mono-logos ». André Steiger
Quand il y a du son, il y a du sens. J’ai souvent pensé à cette jolie formule pendant mon travail. Dans cet INFERNO le son devrait être le sens et inversement. Alors essayons de faire sonner ces mots tirés de Dante, essayons d’approcher de près le sens propre d’une expression passe-partout : la musique des mots. Denis Maillefer.